Quelle que soit leur taille, pour les entreprises, la période de ralentissement forcé de l’activité économique imposé par la crise du coronavirus offre l’opportunité de réaliser un exercice d’introspection sur leurs capacités de résilience, de gestion du risque et d’adaptabilité.
Dans cette période inédite, les organisations s’interrogent sur leurs façons de fonctionner, envisagent de nouvelles formes d’organisation pour mieux préparer « l’après » et tirer toutes les leçons de cette situation.
Au cœur des interrogations, se trouve la question de la responsabilité sociale de l’entreprise. De sa responsabilité vis-à-vis de ses parties-prenantes, de sa raison d’être au sein de son écosystème et de sa contribution à l’intérêt général.
Pour les partenaires et mécènes de The SeaCleaners et du projet MANTA, la RSE s’incarne notamment dans le soutien qu’ils nous apportent pour préserver la planète en combattant la pollution plastique océanique.
Nous leur avons donné la parole pour savoir comment ils faisaient vivre cet engagement pour la protection des océans avant et pendant le confinement, et quels étaient leurs écogestes préférés.